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m​é​lancolie fr​é​n​é​tique

by (cyrz)

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1.
Pardon Messieurs-dames mais je ne suis pas comme vous je vous vois comme vous me voyez de vous à moi j’ai deux yeux deux oreilles un nez autant de trous mais dans votre monde cela ne me sert pas J’ai l’âme aiguisée mais je ne suis pas vraiment fou la couleur des yeux des gens qui n’en ont pas en sortant déguisé je peux m’approcher de vous sans pudeur je vous touche avec mon seul doigt Pourtant les apparences sont trompeuses tous ces gens sont des éléphants où sont donc les danseuses Oh c’est le vent Pourtant mise à part mon amoureuse j’aime aussi tous ces enfants qui se rasent et qui creusent Oh le ciment Pardon Messieurs-dames mais je ne suis pas comme vous je vous aime presqu’autant que vous vous aimez vous-même j’ai le cœur qui galope comme un vieux cheval fou les mains d’un jardinier qui ne sait pas ce qu’il sème La mémoire aiguisée mais j’oublie presque souvent tout j’ai mal au cœur des gens qui vivent dans les bois en sortant de chez moi je sais comment rentrer chez vous pardon Messieurs-dames mais vous n’êtes pas comme moi Pourtant les apparences sont trompeuses je suis l’appât que tu attends de mycoses en muqueuses Oh tu me mens Pourtant j’aimerais tant te rendre heureuse je me bagarre je me défends contre les oies moqueuses Oh je me rends Pardon Messieurs-dames mais je ne suis pas comme vous je vous ai menti tout à l’heure je crois que je suis dingue j’ai deux vies devant moi peut-être plus je l’avoue c’est dans le mort que l’on pourra dire que la vie ça schlingue Je me souviens de rien mais je me rappelle de tout j’ai l’odeur du corps de Loubli qui me revient souvent l’horrible sensation que ses deux mains sont sur mes joues pardon Messieurs-dames mais je ne suis pas différent Pourtant les apparences sont trompeuses l’amour sous le poids des amants fait twister mes valseuses Oh c’est le temps Pourtant la mort est une strip-teaseuse qui vous prend par les sentiments une tête chercheuse Oh je l’attends
2.
Tout est fait par intérêt rien n’est vrai tout est faux Rien n’est désintéressé tout est laid rien n’est beau On est là tous les deux on se bat On est las amoureux on s’ébat On ne vit que pour soi Tout est fait dans l’égoïsme rien que pour jouir tout pour soi Rien n’est autre qu’hédonisme tout le plaisir est pour moi On se joue de nous deux on se rend On se jouit dans les yeux on se ment On ne vit que pour soi C’est Loubli qui nous tient c’est Loubli qui nous tue par les couilles par les seins plus de chapeaux pointus c’est Loubli qui nous tient On se prend dans les bras on se serre On s’éprend de tout ça on se perd On ne vit que pour soi Mais Loubli se souvient mais Loubli nous a vus de mes doigts de tes mains sous les turlututu oui Loubli se souvient
3.
beyrouth 02:56
Bien installée à l’arrière sur la banquette en velours dans le confort de l’enfer tu t’éloignes mon amour Mon amour tu t’éloignes dans une robe d’été n’oublie pas ton passe-montagne le vent est de mon côté Sofie so far in a love car Sofie so far tu brilles dans ma mémoire Sofie so far in a love car Sofie so far mais va-t-on va-t-on va-t-on va-t-on va va-t-on se revoir Une voiture toutes options la clim’ et vitres électriques un petit bar des boissons l’amour est l’ami du fric Tu t’envoles mon amour sur les ailes de la route dans le ciel des vautours qui planent comme des doutes Sofie so far in a love car Sofie so far je lâche les amarres Sofie so far in a love car Sofie so far mais va-t-on va-t-on va-t-on va-t-on va va-t-on se revoir Au volant de la voiture un homme boit au goulot d’une fiole de whisky pur l’amour est un vrai boulot Tu t’envoles avec lui dans tes bagages sans doute la photo où je te dis l’amour c’est un peu Beyrouth l’amour c’est trop peu Sofie so far in a love car Sofie so far de l’amour j’en ai marre Sofie so far in a love car Sofie so far Loubli perd la mémoire Sofie so far in a love car Sofie so far c’est la fin de l’histoire Sofie so far in a love car Sofie so far mais va-t-on va-t-on va-t-on va-t-on va oui va-t-on va-t-on va-t-on va-t-on va
4.
Avec tout ce que j’entends à propos des absents j’aimerais bien savoir ce qu’il se dit sur moi quand je ne suis pas là Ce qu’il se dit dans mon dos des vérités des ragots j’aimerais bien savoir ce qu’ils ont dans le cœur quand je suis ailleurs Par derrière ils sont plus à l’aise par devant ils me biaisent par devant Loubli se recule et par derrière il ment j’aimerais bien savoir ce qu’ils ont dans la tête sous la boule à facettes J’aimerais bien connaitre le fond de leurs pensées avant de trépasser Je ferai des crocs-en-jambe à tous les bruits qui courent sur moi je m’enrhumerai de rumeurs immunisé contre la peur Finissant mes jours dans les bois finissant mes nuits dans tes bras finissant mes jours dans les bois finissant ma vie édenté et dans tes draps pourquoi pas
5.
Hey C’est pas l’amour à boire c’est juste quelques verres de chagrin de cafard c’est pas pire que la guerre C’est pas l’amour à boire on se quitte et alors on pourra se revoir c’est pas pire que la mort C’est pas l’amour à boire il reste quelques gouttes gardons-les pour plus tard pourquoi pas dans le doute Hey C’est pas l’amour à boire l’océan pacifique nos cœurs sur le plongeoir ce n’est pas si tragique C’est pas l’amour à boire notre histoire qui se vide je siffle ma mémoire cul sec et cœur humide C’est pas l’amour à boire juste la goutte d’eau difficile d’y croire notre vie à vau-l’eau Hey C’est pas l’amour à boire tu divagues et moi je ne dis rien dans le noir déferlante d’aveux C’est pas l’amour à boire sur le quai la tendresse l’haineux de nos amarres un signal de détresse C’est pas l’amour à boire tout au plus une flaque si je reviens te voir il y a le feu au lac Hey C’est pas l’amour à boire l’incendie dans nos yeux les larmes de l’espoir n’éteignent pas les feux C’est pas l’amour à boire c’est la mort à bouffer j’avale cette histoire mais je la vomirai C’est pas l’amour à boire il faut que je m’en aille quelques maux et déboires et Loubli fait ripaille Bye bye
6.
Comme un voleur je suis parti son odeur encore sur mes doigts non jamais je n’avais trahi quelqu’un qui a confiance en moi J’ai rassemblé tous mes habits sans faire de bruit sans respirer de la chambre lieu du délit je suis sorti sans la rêver sans la réveiller Je l’ai laissée elle était nue couvrait ses jambes un léger drap ce fut une partie de cul dont c’est sûr on se souviendra Un sentiment de lâcheté bientôt s’engouffra dans mon cœur je l’avais bel et bien sautée et je m’enfuyais comme un veau comme un voleur C’est elle qui m’a fait des avances je ne les ai pas refusées mais l’alcool a joué je pense un rôle dont il a le secret Son ami ne saura jamais ce qu’il s’est passé ce soir-là une double infidélité elle envers lui et moi envers moi envers moi Loubli s’est emparé de moi son souvenir est encore frais je le sens là tout prêt je crois qu’il ne me quittera jamais Il est temps que je me confesse auprès de mes amis Lamour c’est le chien au bout de la laisse aujourd’hui je suis un peu pris un peu pris de court
7.
loubli 00:53
Loubli est un leurre et quelle que soit l’heure Loubli n’est jamais très loin Loubli c’est l’oiseau qui pense tout haut Loubli chante le matin Loubli m’a menti quand il est parti il est revenu cent fois Loubli me rend fou quand il est partout il est toujours derrière moi Loubli s’en ira pour de vrai je crois quand je n’y penserai plus Loubli c’est l’amour j’y pense le jour comme la nuit je m’y tue
8.
anoure 03:54
J’aime tes pieds tout froids qui touchent les miens sous les draps j’aime quand tu me serres fort contre toi J’aime quand tu m’embrasses amoureusement dans le cou j’aime tes lèvres sur moi par dessus tout Oh oh oh le vide autour de nous les nœuds de Loubli se dénouent Oh oh oh la vie de l’au-delà les hip hip hip et les tralalas J’aime quand tu t’endors dans la lumière avant moi j’aime te dire je t’aime quand tu ne m’entends pas J’aime écouter ton cœur qui bat dans le silence j’aime t’entendre rêver que tu danses Oh oh oh la vie dans le néant le désir d’avoir un enfant Oh oh oh le vide et l’existence Loubli se fout des convenances J’aime tes yeux quand il me disent bonjour le matin j’aime ta bouche quand elle ne me dit rien J’aime quand tu me définis de garçon anoure j’aime quand on se fait et se défait l’amour Oh oh oh du vide jusqu’au cou le bonheur s’arrête au genoux Oh oh oh la ville autour de moi j’aime ce semblant de coma faire semblant d’être à toi
9.
L’au-revoir que tu m’as dit avait un arrière-goût un arrière-goût d’adieu fin juillet début août l’au-revoir que tu m’as fait m’a laissé dans la bouche le parfum d’un égoût ou celui d’un tue-mouche je ne peux plus désormais embrasser d’autres filles de peur de les contaminer je me recroqueville j’ai dû trop lécher tes pieds haleine d’espadrille pas le temps de se retourner dans le dos l’amour vous fusille L’au-revoir que tu m’as dit avait un arrière-goût l’arrière-goût de Loubli fin juillet début août l’au-revoir que tu m’as fait m’a laissé dans le doute sentiment de dégoût sentiment de déroute j’ai un souffle de loser du sel sur les pupilles je ne donne plus mon cœur à celles qui me gaspillent mais souvent les samedis soirs je les déshabille uniquement du regard ce jeu-là m’émoustille Quand elles s’offrent à moi de la tête aux chevilles mon cœur s’éparpille Loubli ne m’aide pas alors je leurs devine de jolis seins-torpilles le sexe des filles c’est l’halu-divine c’est l’œuvre de Dieu la bible du néant les lèvres du temps qui s’écartent un peu pour laisser s’envoler le désir de la chair la volonté de plaire sans aller au fait aux fées Je me dis que je manque un peu de technique qu’il ne suffit pas de faire de la musique faut savoir dire au bon moment les bons mots faut savoir aussi se taire oui mais pas trop
10.
Les gens se suivent et se ressemblent de la salive en provision il y a des mains qui suent qui tremblent au fond des poches de pantalons Les gens s’essuient sur leurs voisins dans leurs dos bien évidemment chacun sa merde et son jardin beaucoup trop dur la vie d’amant Quoiqu’il arrive quoiqu’il en soit si je dérive je ne meurs pas Les jours se suivent la vie nous tue si je me prive je suis foutu Les gens se crachent les uns sur les autres et puis ce n’est pas tout ils se sourient devant le mur mais le mur ne tient plus debout Les gens se cachent en prenant soin de ne rien laisser dépasser ils se complaisent dans le rien mais tout ce rien n’est pas assez Quoiqu’il arrive la vie s’en va si je me prive je ne vis pas Les jours se suivent la mort se rue si je dérive je ne meurs plus Les gens se lassent de leurs amis ils font main basse à tour de rôle c’est le vinaigre de leurs vies un sentiment de ras-le-bol Les gens s’enlacent car c’est la fin il faut se défaire de ces nœuds Loubli crée de nouveaux besoins c’est la peur de devenir vieux Quoiqu’il arrive quoiqu’il en soit si je dérive je ne meurs pas Les jours se suivent la vie nous tue si je me prive je suis foutu Quoiqu’il arrive la mort nous tient si je dérive je me sens bien Les gens se suivent la vie nous tue si je salive je suis perdu Quoiqu’il arrive la vie s’en va si je me prive je ne vis pas Les jours se suivent la mort se rue si je dérive je ne meurs plus Moi c’est au présent que je vis c’est auprès de toi mon amour même si parfois j’ai envie de te fuir et de couper court
11.
De fille en aiguille tout se joue sur un coup de dé mais ça me bousille je veux tout raccommoder De fille en aiguille mon train de vie fait son chemin jusqu’à la faucille je garde mes rêves de gamin C’est un tissu de mensonges et dans mes yeux de la poudre c’est un tissu de mensonges une machine à en découdre De fille en aiguille les coutures pètent une à une je suis en guenille la panoplie d’infortune Des filles des aiguilles me déshabillent me tricotent accents et cédilles Loubli m’emberlificote C’est un tissu de mensonges un bel orage sans foudre une pelote une éponge il faut s’en aller s’y résoudre il faut s’en aller Les filles me font des trous dans les poches les aiguilles sont souvent sous la roche les filles me font des ourlets les aiguilles sont déguisées De fille en aiguille j’aimerais que l’on me couse paupières sur pupilles plus de larmes et plus de blues De fille en aiguille c’est un vrai chemin de croix de fraises en myrtilles de coups de dé en coups de doigt C’est un tissu de mensonges les filles foutent le feu aux poudres c’est ma mémoire qui s’allonge une machine à en découdre
12.
sursis 03:47
Et si nous vieillissons ensemble je voudrais tant que tu t’en ailles l’esprit le cœur et l’âme en paix l’âme en paix la première Et si un matin mes yeux tremblent le matin de tes funérailles toutes mes larmes auront coulé une rivière imaginaire dans la grande allée du cimetière Ne te fais pas trop de soucis je te rejoins dans quelques mois la vie sans toi n’est pas la vie je te rejoins dans quelques mois Je voudrais te voir t’envoler avant moi mon amour t’épargner la grisaille autour où le pire ne fait qu’empirer C’est pour cela que j’ai choisi de partir le second je veux que la fin de ta vie ne soit que bonheur et chansons l’âme sœur prise par l’âme-son Bien sûr ce n’est pas pour demain et le plus tard sera le mieux mais sache quand-même que je tiens beaucoup plus à toi qu’à mes yeux Bien sûr ce n’est pas pour demain mais quand le jour sera venu il faudra se résoudre enfin à voir la mort comme un début I want to kill the dead Et si nos yeux creusent nos rides c’est que c’est Loubli qui s’engouffre un jour notre mémoire se vide je ne veux pas que tu en souffres C’est pour cela que j’ai choisi de partir après toi mais tu sais ce n’est qu’un sursis je serai bientôt dans tes bras dans un linceul ou dans un drap Bientôt nous serons tous les deux enfin réunis dans la mort je crois qu’elle peut nous rendre heureux le bonheur éternel alors Ne te fais pas trop de soucis je te rejoins dans quelques mois la vie sans toi n’est pas la vie je te rejoins dans quelques mois Ne te fais pas trop de soucis je vais couper court à tout ça la vie sans toi n’est pas la vie promis je ne tarderai pas
13.
Un cadavre exquis endormi bercé par des rêves d'infidélité au hasard des corps ensevelis dans ma tête un bouquet de pensées pour toi je reste là Je reste assis là sans bouger mon bras gauche embrasse ton bras droit deux bouts de pain sont rassis à mes pieds je prends la vie comme elle ne vient pas pourtant je reste là Tous mes amis s’en sont allés mais je sais que Loubli m’aidera à me souvenir me rappeler je voudrais qu’ils soient tous près de moi pourtant je reste là Pourtant pour toi je reste là ................................................................................................................. Loubli m’a tué quand il m’a aimé je m’en souviens comme d’hier Loubli se rappelle sa mémoire est celle d’un éléphant sous la terre Loubli n’a que faire de ce cimetière que je traine dans mon ventre Loubli tremble à mort tremble dans nos corps et moi j’en suis l’épicentre Loubli ne dit plus la vérité nue il met quelques fleurs autour Loubli en rajoute il sème le doute quand il s’agit de l’amour

about

Cet album aurait dû s'intituler LOUBLI

credits

released March 1, 2009

Réalisé par Mike Ponton et Cyrille Paraire

Écrit et composé par Cyrille G. Parayre
Recomposé par Cyrille Paraire & Mike Ponton
Arrangé par Mike Ponton, Stéphane Montigny et Cyrille Paraire
Éditions Strictly Confidential France
©+P : Pias Recordings

Enregistré par Mike Ponton entre décembre 2007 et août 2008 en grande partie chez Mike et Yaëlle dans la campagne de Valence mais aussi au Bedroom Studio de Montéléger, au Studio Control de Grenoble, au Mistral Palace de Valence et au Studio de Tara King Th. à Génissieux. Le banjo de Beyrouth a été enregistré par Xavier Ikeda au Studio Mah-Na-Mah-Na de Rouen. Loubli 1 et Loubli 2 ont été respectivement enregitrés au Bedroom Studio et au Jet Studio de Bruxelles par Cyrz. Mixé par Stef Van Alsenoy, Mike Ponton et Cyrille Paraire assistés de Jean-Guillaume Teheux au Jet Studio. Masterisé par Jean-Pierre Chalbos au Studio La Source à Paris.

Stephan Bertholio scie musicale, ukulélé (Pardon Messieurs-dames) Blaise Chevallier Contrebasse Olivier Daviaud violoncelle, choeurs (Double infidélité) David Dupuis trompette, bugle, flûte Melle Fraise voix (Loubli 1) Cécile Hercule voix (Double infidélité), choeur (Je reste là) Mathias Malzieu sirène mégaphonique (sursis) Stéphane Montigny trombone Frédéric Ozanne piano (C’est pas l’amour à boire), Hammond (Sursis) Cyrille Paraire voix, cris et chuchotements, guitares classique folk électrique slide et noise, basse, Batterie, banjo, ukulélé, korg, theremin, harmonica, piano (Loubli 2), métallophone, tambourin, maracas, œuf, demi et pleine lune, piano jouet, vibraslap, clap hands, kazoo, pied au plancher Mike « Miky Biky » Ponton programmations, guitares électrique slide et noise, basse, banjo, korg, theremin, scratches, œuf, kazoo, métalophone, snap fingers Raoul Tellier banjo (Beyrouth) Gérard « Gigi »Tempia Violon

Stephan Bertholio, Mathias Malzieu et Michael Ponton apparaissent avec l'aimable autorisation de Barclay, un label Universal Music France.
Raoul Tellier apparaît avec l’aimable autorisation de Euro-Visions

Graphisme, photos et dessins : Mademoiselle Fraise
Photos canards et sursis + Loubli 1 (extrait de Loubli Lobby Blues) : Cyrz
Loubli Lobby Blues est une chanson de 26 parties écrite et composée au ukulélé sur un coin de table de camping dans les Landes, point de départ de cet album.

MERCI à Mike Ponton de m’avoir aidé à porter ces chansons, parfois à bout de bras, souvent à bout de voix, de les avoir violemment bichonnées et tendrement tordues (Everything is red !). Merci à Stéphane Montigny qui a pris le train en marche et nous a écrit des partitions de cordes et de cuivres sans demi-mesure (frénétique = néphrétique). Merci à tous ceux et celles qui ont déambulé dans la frénésie de mon labyrinthe mélancolique. Merci à PIAS France et tous ceux qui travaillent avec Yves Lecarpentier, Firmin Michiels et son équipe chez Strictly Confidential France, la bande à Bob et Bertrand chez Pbox tourneur-faiseur de concerts, Olivier Daviaud pour le chœur à l’ouvrage entre autre, Yaëlle pour sa patience et sa gentillesse, Nathalie et Jipé Maillard pour leur accueil à Grenoble, Sébastien Riou qui a soigné ma caisse claire, ARno de Tara King Th., Fabrice Bonnet pour la bio mais pas seulement, David Basso pour le site et la suite, Olivier Dufaut qui a fait des “Haw” sur L’écume (une chanson qui a prit le large), Dionysos et Arluk, le chat le plus gros de la Drôme.

Éternels remerciements à mes Parents.

À Cécile, à ma sœur, à ma famille, à mes amis, à ceux et celles qui
ne sont plus là pour faire face à Loubli.


Clip de Pardon Messieurs-Dames :
www.youtube.com/watch?v=p8Xdzw1BW1I

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(cyrz) Villeurbanne, France

Après un premier album autoproduit qui lui a ouvert les portes des maisons de disques, Cyrz signe chez Pias et Strictly Confidential France chez qui il sortira deux albums. Vous découvrirez ici ce qu'il a fait avant et ce qu'il fait maintenant.

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